Montier-en-der

La création de ce jardin date du début du XVIIIe siècle. A l'origine tout le jardin était "à la française", avec des parterres sur la rue prolongés par des berceaux de charmilles, et un massif sur l'arrière.

Au XIXe siècle, si le jardin de devant n'a subi que peu de changements sauf l'apport du Pavillon et le parement du Temple de l'Aurore, sur l'arrière une charmille en labyrinthe est venue border la rivière en incluant, en son centre, un original "compotier" servant aux compositions florales. De plus, l'ensemble du parc a été recomposé "à l'anglaise" de façon à former, dans un parcours sinueux d'allées, des buissons et des bosquets variant les perspectives jusqu'au du champ de courses en complément d'une orangerie et d'une serre.

Enfin, le "chalet" et son kiosque à musique, eux aussi du XIXe siècle, un jardin potager aux fraîches bordures de buis viennent agréablement rappeler les bienfaits d'une partielle autarcie.

Rêve d’enfant devenu peu à peu réalité, le jardin a pris forme et volume au cours des années. Les plantes natives, depuis la modeste pâquerette aux cardamines, épilobes, eupatoires, ophrys, côtoient leurs cousines aux floraisons plus longues et plus éclatantes. La main jardinière régule l’ensemble en instaurant une cohabitation plus équilibrée, dans un esprit de respect de la biodiversité végétale et animale.

Oiseaux, grenouilles, petits mammifères apprécient les lieux, de même que les papillons. Les traitements sont réduits au minimum avec le concours des insectes utiles, des oiseaux et des plantes amies.

Au mois de juin, c’est l’explosion des floraisons et des senteurs, avec les grands rosiers, les touffes de lysimaques, les géraniums vivaces, les hémérocalles et autres grandes vivaces… Le jardin se métamorphose au fil des saisons et garde un attrait même en hiver : arbustes persistants, écorces colorées ou qui s’exfolient.
Le potager et le verger mêlés de fleurs perpétuent la vocation nourricière du jardin.

Ouvrage de régulation de la Marne, le lac du Der est l’un des plus grands lacs artificiels d’Europe : 4800 hectares d’eau et 77 km de rives. C’est une véritable mer intérieure dans un paysage de forêt et de bocage, parcouru de sentiers et d’itinéraires de découvertes :

• 250 km de sentiers balisés
• 85 km d’itinéraires cyclables
• Base nautique, activités sportives, musées, dégustations, animations

Église Saint-Rémi à Ceffonds : église reconstruite au XVIe siècle qui recèle le fleuron des vitraux Renaissance de l’École Troyenne du XVIe siècle.

Église Notre-Dame de l’Assomption à Droyes : Nef romane, chœur du XVIe siècle, transept à deux travées, orné de verrières de l’école Troyenne. Ouverture du 1er Avril au 15 Octobre de 10h à 18h30.

Église Saint-Martin à Louze : église du XVIe et XVIIIe siècles, vitraux du XIIIe siècle. Vitraux les plus anciens du département.
Ouverture  sur demande.

Église Notre-Dame-de-la-Nativité à Puelllemontier : église des XIIe, XIIIe, et XVIe siècles, éclairée par un ensemble de vitraux de l’École Troyenne.

Église Notre-Dame-de-la-Nativité à Sommevoire : église du XIIe siècle édifiée par les Templiers. Porche de style roman. Très beau mobilier du XVIIIe siècle. Vitraux.