Bienvenue au pays de salviac

Ce charmant village, chef-lieu de canton, s’étend dans une fraîche vallée au confluent des ruisseaux de Pâques et de l’Ourajou.
Vous vous trouvez ici sur l’une des étapes du sentier vers St Jacques de Compostelle (GR652) en provenance de Rocamadour.
Salviac est heureux de vous accueillir et de vous présenter :
SON PATRIMOINE :

• Eglise St Jacques le Majeur, 13ème siècle M.H. Guillaume de Gourdon et son héritier Aymeric de Malemort, sénéchal du Roi de France, seigneur de Salviac sont probablement à l’origine de sa construction entre 1240 et 1260. Le monument est à la  charnière  entre deux styles, le roman Languedocien et le gothique du Midi dont son allure massive à toutes les caractéristiques. Toiture constituée de lauzes (dalles de pierre), couverture typique du Quercy-Périgord. A l’intérieur, vitraux du XVIème s., retable du XVIIème s.
• Château Lacoste dit « des Templiers » avec une tour Renaissance (privé, ne se visite pas).
• Chapelle Notre-Dame de l’Olm du XVème s.
• Fontaine du XVIème s.
• Aux alentours : église romane de Luziers, belles maisons quercynoises en pierre, gariottes (abris de bergers), dolmen, moulins, fours à pain.

SES ANIMATIONS ET LOISIRS :

• Piscine, tennis, pêche, terrain de sport, sentiers de promenades et randonnées pédestres et équestres balisés (notamment le GR652 : chemin de St Jacques de Compostelle – itinéraire de Rocamadour-Gourdon-La Romieu).
• Grande fête votive de la St Jacques (dernier dimanche de juillet), concerts, marchés.

La route moderne évite le bourg, qui profitait autrefois de la croisée de chemins très fréquentés. Au centre, à l’emplacement de l’ancienne église et du cimetière, le grand foirail aménagé en 1860 connaît une animation régulière durant l'été.

Puits bâti en tourelle en 1864 à hauteur du pont franchissant le ruisseau en direction de Gourdon.

AUX ALENTOURS :

• Plan d’eau (pêche) au creux de la vallée du Palazat.
• A flanc de coteaux, l’ancien repaire de Vertillac (manoir aujourd’hui devenu chambres d’hôtes) braque inutilement les canonnières de sa tour ronde tronquée ; au 18ème s. les propriétaires en étaient les notables cadurciens Issala, seigneurs de Dégagnac jusqu’à la Révolution.
• Plusieurs maisons de ferme encadrées de pigeonniers-tourelles.
• « Château de Lantis » : mentionné pour la première fois en 1670, en partie du 17ème s. (en cours de restauration). Colombier carré en contrebas.
• Hameau de « Lantis » : croix centrale à l’emplacement d’un prieuré détruit, auquel l’église de Dégagnac était annexée.

Au-delà, vers la vallée du Céou, nombreux sentiers balisés parmi les chênes caussenards.

Au cœur de paysages variés, composés de coteaux calcaires et de forêts, le bourg fortifié est attesté en 1460, incluant le barri (quartier) de « Lalbespit » derrière fossé, murs et portes.

Ici, les habitants disposent d’une charte des coutumes depuis au moins 1368.

La mention d’un barri « del forn » en 1306 suggère l’existence d’une première enceinte sous la protection rapprochée du château féodal. La seigneurie apparaît sous la suzeraineté de la puissante famille de Gorudon dès le 10ème s.

A partir de 1528, le fief passe à la branche de La Grange-Gourdon.

Aujourd'hui, le village est fier de vous présenter :

SON PATRIMOINE :

• Château du XVII / XVIIIème s. dont les façades, les toitures, la salle dite « des Gardes » et l’escalier principal sont inscrits à l’inventaire des monuments historiques (privé, ne se visite pas).
• Eglise romane St Quirin dans le bourg et église de St Martin (XIIème s.) entourée de verdure dans une vallée riante et isolée.

SES LOISIRS :

• Piscine, tennis, pêche, sentiers de promenade et randonnée balisés, sentier d’interprétation dans l’Espace Naturel Sensible (ENS) des Landes du Frau.

Assise sur un tertre dominant les quelques maisons du village, l’église Sainte-Madeleine porte les traces déconcertantes de multiples reprises, venues la retoucher sans altérer l’architecture d’origine romane : clocher-mur, abside en cul-de-four.

A ses côtés, grande demeure bourgeoise à l’emplacement d’un ancien château du baron des Junies, vendu et dépecé après 1789 par le conventionnel Taillefer ; l’unique vestige est une fenêtre à croisée de meneaux en remploi dans un mur de l’école…

AUX ALENTOURS  :

• Au Nord :

Au carrefour après le cimetière, petit lavoir et fontaine (refaite).

Le Château : site d’une autre possession détruite du seigneur des Junies, évoquée par deux tours et d’anciens communs.

En limite Nord de la commune, les Vitarelles : hameau situé sur une très ancienne voie de circulation entre Gourdon et le Port de Domme, probablement d’origine gallo-romaine.

• Sur les bord du Céou :

Ruines de l’Abbaye Nouvelle : église gothique se dressant sur un éperon calcaire, majestueux vestiges d’un monastère cistercien fondé au XIIIème s. par la puissante abbaye d’Obazine (Corrèze). (ensemble classé monument historique en 1991).

A quelques pas du village de Lavercantière et de la vallée de l’Ourajou,le village s’organise autour d’un vaste lac communal : lac abreuvoir où les troupeaux faisaient halte matin et soir.

L’origine du peuplement remonte sans doute à la fondation d’un petit prieuré bénédictin qui s’occupa de défricher le territoire.

SON PATRIMOINE :

• Eglise Saint Pierre : petit édifice compact avec abside romane (12ème s.). Dans la chapelle Sud, ensemble de magnifiques peintures murales du 15ème s.

A ne pas manquer:

• Les représentations des scènes de la vie du Christ ; Annonciation, Baiser de Judas, Flagellation, Crucifixion, Mise au Tombeau.

• Maison à étage, rehaussée de pigeonnier
• En contrebas du village, petit lavoir couvert.

LOISIRS :

• Pêche, sentiers pédestres balisés, repas traditionnel la « Poule au pot » du 14 juillet.

Entre Causse et Bouriane, Thédirac étire ses vallonnements dans une campagne verdoyante parsemée de sous-bois ombragés.

Posté sur un ample pech circulaire dont les eaux rejoignent le bassin de la Dordogne, le village est né au contact d’un premier petit fort, qui fut possession des barons de Luzech avec Maussac, Gindou et Salvezou. La Baronnie de Thédirac se détacha de la Baronnie de Luzech en 1595.

Le château élevé au 15ème siècle, vraisemblablement remanié au 17ème, a été incendié en 1796 par les habitant, pris de fureur contre le profiteur qui l’avait acquis à la Révolution. Le logis actuel, avec son élégante tour d’escalier polygonale, semble tourner le dos à l’imposant ‘‘hôtel de ville’’ érigé dans les années 1910.

Un peu plus bas, l’église Saint-Roch doit son ampleur à la rénovation gothique des 14 et 15èmes siècle : abside romane fortifiée en hauteur par une chambre-refuge, clocher tour en façade portail mouluré avec culots sculptés aux retombées du larmier, chapelle latérales. A l’intérieur beau mobilier du 17ème s. : armoire Louis XIII et chaire à prêcher ; retable du maître actuel : au centre peinture sur toile de la Crucifixion, encadrée par les statues de saint Antoine et saint Roch, dans une architecture de pilastres cannelés.

Village de ThédiracMaison à ouverture d’échoppe près de l’église. Rue du cimetière : encadrement de porte ouvragé de l’ancienne demeure de la famille Grangié (Eugène Grangié, poète et promoteur du tourisme lotois dans les années 1930, enterré au cimetière ; la famille possédait également aux environs le château du Surgé, non visible).

Colombier isolé dans un jardin. En bordure du village à l’Est, maison restaurée, à bolet et tour pigeonnier circulaire à randière